Depuis le début de ce stage ils sentaient tous les deux qu'une complicité un peu plus qu'amicale était en train de se construire entre eux. Une attirance physique, et certainement l'envie d'une bonne baise totalement décomplexée, du sexe pour le pur plaisir. Alors ce dernier soir, après le pot de fin de stage, elle le suivit dans sa tente. L'endroit n'était pas large et ils rirent en se déshabillant, se cognant à la toile de tous côtés. Lorsqu'elle fut nue il l'allongea sur son sac de couchage et lui offrit le cuni le plus intense de sa vie. Elle se mordait les doigts pour ne pas hurler, cherchant de l'autre main une queue énorme qu'elle frôlait lorsqu'il se mettait à quatre pattes. Elle le repoussa pour se saisir de l'engin et l'avaler avec avidité, elle suçait divinement. Mais il ne voulait pas jouir dans sa bouche, lui aussi la repoussa, remonta ses jambes et la pénétra avec une douceur infinie, millimètre par millimètre, avant de la baiser de plus en plus fort. Ils jouirent jusqu'au petit matin, le sac plein de foutre et de cyprine mélangés.